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09/07/2014

Je suis tombé par terre, c'est la faute à...

La Presse gratuite du métropolitain vient de consacrer un article, pleine page, à une plaie moderne : l'ignorance de l'orthographe (française).

Il ne s'agit pas, comme je le sous-entends dans mes billets, de négligence ou de précipitation ou de désinvolture (telle celle qui fait des ravages dans les courriels et projets de note de nos collègues).

Non, il s'agit bel et bien d'ignorance et de handicap, voire de souffrance, face à cette ignorance.

On y apprend, et ce n'est pas sans une certaine jubilation, que d'aucuns ont décidé de réagir : des Écoles d'ingénieur, des employeurs, des recruteurs et, le besoin créant l'organe, des organismes de formation qui mettent à leur catalogue des "stages d'orthographe", ont décidé de faire face.


Bien mieux : un "Projet Voltaire" soutenu par Adecco et par CEGOS, propose en ligne un entraînement selon différents niveaux de maîtrise et, au bout, une certification du type TOIC ou TOEFL. L'entraînement pour les "professionnels de l'écrit et passionnés" que vous êtes tous, coûte 49 euros. Vous vous devez d'atteindre au moins 500 au test de certification...
Il est dit que certains certifiés inscrivent leur note dans leur CV !

War is over ?

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