21/07/2015
Sacré Charlemagne (I)
Aujourd'hui, le billet va paraître bien tard car le soleil tapait très fort et l'eau de la piscine frôlait les 30 degrés...
Aujourd'hui, les écoliers sont en vacances et l'école de Charlemagne est fermée...
Mais pas celle de Mme Belkacem, qui continue à faire des remous. Ainsi, dans le Marianne du 26 juin 2015, bien après le passage en force par décret, pouvait-on lire un long article au lance-flammes d'Éric Conan intitulé "Sauvons l'école".
Quels en sont les idées-forces ? Oh, ce que nous avons tous compris depuis pas mal de mois (d'années pour certains)...
Le niveau baisse depuis trente ans, malgré les efforts faits pour le camoufler, et les inégalités augmentent.
Les résultats du bac sont de plus en plus mauvais mais les instructions sont de bidouiller les notes à la hausse, au nom du sacro-saint objectif de 90 % de réussites.
Les "experts en pédagogie" de la rue de Grenelle, qui semblent inamovibles et persévèrent dans l'erreur, sont mis en cause, ainsi que la loi d'orientation de Lionel Jospin, qui voulait "mettre l'élève au centre de l'école" (là où, dans toutes les entreprises, les plans stratégiques veulent mettre le client ; ça fait beaucoup de monde au centre, décidément...).
L'affaire commence à tourner vinaigre et se transforme en une polémique gauche-gauche...
Le nombre d'heures de cours de français s'est effondré en trente ans...
Les 36 établissements les plus "méritocratiques", pour la plupart privés, se caractérisent par un trait commun : l'autorité...
À part ça tout va bien...
Dites donc... Natacha n'est pas loin !
Bronzez heureux, Français !
21:11 Publié dans Actualité et langue française | Lien permanent | Commentaires (0)
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