Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/07/2014

Pourquoi donc bien écrire ? et comment faire ?

Comme promis, voici le premier billet de la série… la nouvelle vie commence !

 "Un écrivain assis à sa table ne connaît qu'un orgueil : bien écrire" (Dan Franck, La séparation, 1991)

Bien écrire d'accord, me dit-on... mais pourquoi ?

D'abord pour attirer, motiver, encourager le lecteur et faire en sorte qu'il aille au bout du texte. 

 

Pour l'aider à lire le texte rapidement, sans effort, agréablement (c'est le rôle de la typographie, du respect des règles de ponctuation, etc. qui donnent à l'œil du lecteur des repères visuels sur lesquels s'appuyer). 

 

Ensuite pour faciliter sa compréhension et la mémorisation de ce qu'il a lu.

 

Enfin pour sécuriser l'utilisation qu'il fera du document lu (qui n'a pas pesté contre l'ambiguïté de certains modes d'emploi, de certaines "gammes" industrielles,  de certaines consignes, de certaines "commandes hiérarchiques" ?)

Comment faire pour atteindre ces objectifs louables ?

 - d'abord s'astreindre à un style sobre, neutre et limpide (le style "texto", le style télégraphique, le jargon... sont tout aussi nuisibles qu'un style trop littéraire, ampoulé ou bavard) ;

 - ensuite apprendre et respecter les règles de typographie (par exemple : les signes qui ont la hauteur d'un caractère, comme " : " et " ? " doivent être précédés d'une espace insécable) ;


- enfin pratiquer l'autocontrôle (relire avant d'envoyer) et l'assurance-qualité documentaire (faire relire par un tiers).

Naturellement ces recommandations de bon sens s'appliquent à tout type de document : note technique, articles, plaquettes, lettres... mais aussi courriels, visuels et pages de sites internet.

 

Voilà, c'est tout pour cette fois : c'était  l'introduction du blogue "Le bien écrire"... à suivre.

© Brugel 2007, 2011, 2014

Les commentaires sont fermés.