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30/01/2017

Devinette sur devinette

Dans ma devinette XVIIf, j’ai utilisé plusieurs ellipses pour faire allusion à certains personnages ou situations connus…

Saurez-vous les découvrir ?

 

  • une charogne ?
  • les parfums de femme ?
  • une passante ?
  • les correspondances avec les couleurs ?
  • le coup de pistolet ?
  • le petit tour en Belgique ?
  • le bateau ivre ?
  • le soldat mort ?
  • prenant ses cliques et ses claques, la future idole du dernier Nobel de littérature s’embarquant pour l’Abyssinie (ou bien était-ce l’Éthiopie ?) ?
  • les délices de notre ancien Président-Académicien ?
  • les aventures imaginées par Maurice Leblanc ?
  • le nouveau géant qui fera de l’ombre au siècle suivant ?

 

12 questions, 12 réponses, 12 points…

Qui s’y colle ?

07:30 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

07/01/2017

Devinette XVIIc : auteurs français du XVIIème siècle

Avec le XVIIème siècle que nous abordons aujourd’hui, ce sont nos années de lycée (M6 aurait dit : « nos années-lycée »…) qui remontent à la surface.

À cheval sur le changement de siècle, il y eut Malherbe, qui régularisa notre langue (on dirait maintenant « qui standardisa ») mais ne frappa pas nos esprits juvéniles, pas plus que Cyrano de Bergerac que nous avons toujours considéré comme faisant partie du XIXème (à cause d’Edmond Rostand). Même Descartes, qui fit pourtant de nos modes de raisonnement bien français ce qu’ils sont, ne fut qu’évoqué…

Mais alors, ensuite, quel festival, quelle équipe de rêve, quelle brochette ! Rappelez-vous : « Une corneille perchée sur la racine de la bruyère boit l'eau de la fontaine Molière »… Les quatre immortels : Corneille, La Fontaine, Molière, Racine et les autres : Boileau, Bossuet, La Bruyère, Madame de Sévigné, Madame de Lafayette. Ce sont les classiques. Et au milieu de ces écrivains, un esprit universel : Pascal. 

Alors quel plaisir de citer, de mémoire :

Ô rage, ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !

N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers

Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

 

Percé jusques au fond du cœur

D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle,

Misérable vengeur d'une juste querelle,

Et malheureux objet d'une injuste rigueur,

Je demeure immobile, et mon âme abattue

Cède au coup qui me tue.

 

À moi, comte, deux mots.

Parle.

Ôte-moi d'un doute.

 

Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées

La valeur n'attend point le nombre des années.

 

Dispense ma valeur d'un combat inégal ;

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire :

À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

Le Cid.jpg

Et le désir s'accroît quand l'effet se recule.

Car ce n'est pas régner qu'être deux à régner.

Je suis romaine, hélas ! puisque mon époux l'est.

01/01/2017

Excellente fréquentation : mes vœux du Nouvel An 2017

Bonne année à tous mes lecteurs et merci pour cet encouragement que constitue l’augmentation régulière du nombre de « visiteurs uniques ».

Eh oui, ça a continué de grimper en décembre 2016, pour le troisième mois consécutif !

Le record de visiteurs s’établit maintenant à 662, avec un pic remarquable à 35 visiteurs le 15 décembre et un creux (que je croyais ne plus devoir survenir…) à 9 le 27 décembre, la moyenne s’établissant à 21 visiteurs par jour (et beaucoup plus par billet, puisque je ne publie que deux billets par semaine).

L’Europe domine toujours (je parle de la fréquentation du blogue, uniquement…) et l’Afrique progresse, à 5,0 % du lectorat, au détriment des autres continents. Amériques, réveillez-vous !

C’est toujours les moteurs de recherche qui suscitent le plus d’accès (80 %). À chaque visite, en moyenne, sont vues 1,5 pages du blogue.

Continuez ! 

Spetsaï 1.jpg

In extremis, l’an passé, c’est Michel Déon qui a tiré sa révérence. Un homme intéressant, un îlomane comme Durrell et Cohen, bien que ses romans ne m’aient jamais ébloui. En revanche, ses deux récits grecs, « Le balcon de Spetsaï » et « Le rendez-vous de Patmos », sont merveilleux. 

Spetsaï 2.jpg

Au fait, avec tout cela, je ne vous ai pas parlé de « mon » meilleur livre de l’année ; il ne date pas d’hier (1947) ; c’est « Le monde d’hier » de Stefan Zweig, une merveille. À suivre…