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03/07/2017

Irritations linguistiques LII : Québec !

Le Marianne du 12 février 2011 (oui, 2011, pendant l’antépénultième quinquennat !) raconte que, lors d’une conférence de presse commune avec Barack Obama, le Premier Ministre canadien, Stephen Harper (oui, celui avant le jeune Trudeau, apôtre des accommodements raisonnables) a fait sa déclaration officielle en français, comme il en a l’habitude (depuis, on a connu un candidat à l’élection présidentielle française qui la faisait, lui, en anglais à Berlin…). En guise de représailles, la chaîne américaine Fox a coupé la retransmission pour ne la reprendre qu’au moment où le président américain s’est exprimé. Pensée unique, langue unique, même combat. 

Montréal rue.jpgPlus récemment, voici ce que M. Mathieu Bock-Côté, philosophe et sociologue québécois, déclarait : « La langue française n’est pas ici une langue sur deux mais la langue de référence, de convergence (…). La ville (Montréal) s’anglicise sous la pression de l’immigration et de la mondialisation (…). Les Québécois tiennent à leur identité linguistique et redoutent le jour où leur langue ne sera plus celle de leur métropole » (Marianne du 31 mars 2017).

 

 

Le 17 avril 2017, vers 22 heures, je suis tombé sur un reportage de L’Équipe TV baptisé : « Le running, un business ». Comme condensé de franglais, on peut difficilement faire plus court ! « Se coucher tard, nuit »…

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